[New Jeu] J'écris l'histoire

son petit corps musclé transi de froid dans les eaux de l'atlantique, et cette pauvre Kate qui chouinait sur sa planche comme une chatte abandonnée. Heureusement pour moi, je savais nager

je regagnais la rive, trempé. arrivé a la maison je décide de rentrer par derrière pour ne pas réveiller mes parents quand je vis par la fenêtre ma mère se faire une rame...

illona a écrit:

ma mère se faire une rame...

comment ?

Jarne a écrit:

illona a écrit:

ma mère se faire une rame...

comment ?

snifouille intensif ^^

comme personne ne semble être choqué par le fait que ma mère se shoote, je réfléchis pour la première fois tout en me dirigeant de nouveau vers ce pont, j'attends que les crocrodiles m'aient repéré et je saute... un très beau suicide!


fin de notre belle histoire !

dure la fin.

Mais comme ça a été amené, j'ai pas réussi à avoir une once de larmichette, je me sens assez insensible d'un coup.
lol

j'avoue ca fait plus dans le pathétisme que dans la tristesse, mais la fin devait être la hauteur de sa vie c'est a dire stagnation totale et déchéance... ^^

encor un peu on parlerait de lui comme s'il existait ^^

tu nous lance une nouvelle histoire lilie ?

Ok, j'essaye.

Comme toutes les histoires, ça commence par "il était une fois"



"Il était une fois, une petite fille, jolie, espiègle, et heureuse de la vie. Elle habitait une jolie maison dans la campagne normande, et grandissait en paix dans une famille unie. Le temps s'écoulait en un mouvement aussi régulier que le balancier d'un coucou suisse, comme celui qui chantait toutes les heures dans leur salon... La vie aurait pu continuer dans se cadre idyllique, lorsque surgit au milieu de nulle part cet évênement inattendu...

c'était un matin, comme d'abitude elle se regardait dans le miroir du couloir avant de prendre son sac et partir en cours...

comme d'habitude, elle dit au revoir à ses frères et soeur, son chien, son hamster, sa perruche, ses poneys et son lapin, et se dirigea vers son arrêt de bus, à 10 minutes de là

Elle s'assit sur le banc tagué de son abris-bus aux vitres éclatées. Le temps étaient couvert: de denses nuages blancs observaient la terre dans les hauteurs du ciel, tandis que de petits nuages bas plus légers se déplaçaient au gré du vent..
Des bruits voitures qui traversent le vent à vive allure, des vélos, ou des camarades de collège s'ajoutaient à ce paysage normand, en période scolaire.
Mais aujourd'hui, elle était étrangement seule...

elle repensa au coup de fil d'hier soir et elle ne pu s'empecher de pleurer... ca ne pouvait etre vrai, il ne pouvait pas...

Comment avait il osé lui parler de la sorte, alors que tout semblait aller si bien... Elle était persuadée qu'une autre raison se cachait derrière tout ça, et qu'elle saurait de quoi il en retourne, coute que coute. Elle vit le bus arriver. Elle sétonna qu'il soit vide et questionna le chauffeur.

Il ne lui répondit que c'etait habituel et d'aller s'assoir sans le déranger plus longtemps

En allant s'assoir au fond du bus, elle sentit un courant d'air la traverser, ce qui la fit frissonner. Elle s'assit, le regard dans le vide, la peur commençait à la figer sur place.

Le bus roulé ls paysages défilaient mais le temps semblait s'etre arreté

Elle restait la dans sa torpeur, tandis que le bus filait à vive allure, de plus en plus vite. Aucune voiture, aucun passant, seulement les arbres et les prairie. Le ciel s'assombrissait tandis qu'une larme commençait à couler sur sa joue.

Elle repensait a ce coup de téléphone qu'elle avait tant attendu et qu'elle regrettait maintenant , il avait été tellement différent de ce qu'elle attendait

Dans un coup de frein assourdissant, elle fut attirer par une force incroyable sur le dossier du siège devant elle. Le bus se figea, a quelque metre du pont neuf. Elle vit une voiture faire une embarder et plonger directement dans l'eau, sous ses yeux.

Elle en fut encore plus choqué de voir que personne ne réagit a part elle , le chauffeur du bus repris la route . Et le chauffeur du véhicule n'eut aucune aide ... Aucun secours ne viendrait

elle se rua sur le chauffeur en lui hurlant expressément de s'arrêter. Elle cria de toute se sforces,en lui tapant sur le dos avec ses points. Il agissait comme si la jeune fille n'était pas la, sourd à toute demande, imperturbable devant la route qui defilait sous les roues du bus.

Elle voulait absolument qu'il sarrete, elle avait reconnu cette voiture, elle la connaissait, oui, mais cela ne pouvait etre... non, elle ne voulait pas! Elle se mit a hocqueter sous la violence de ses pleurs.

Le bus continua sa route jusqu'a l'arrivée au collége ... qui semblait tout aussi desert que les rues et le bus

Il ne voulu pas quelle descende tout de suite, mais ne répondait à aucune question

Dans sa tete redéfilé tout les rues desertes les mots qu'elle avait entendu au téléphone , l'accident de voiture quand soudainement

elle sentit une main se poser sur son épaule. Elle sursauta et resta immobilisée par la peur, elle n'osa pas se retourner tout de suite..